« Est-ce en 1952, à l'occasion d'une exposition de « La jeune sculpture », où il rencontre l'écrivain Pierre Naudin qui lui déclare aimer sa sculpture, que le goût de Maurice Guillaume pour la représentation du sport se conforte ? C'est probable mais, pour autant, il n'en ai pas à ses premiers jeux avec cette thématique. Naudin, qui, ce jour-là a également apprécié une sculpture de René Iché, l'Athlète après la douche, ajoutera à son égard : « J'appris plus tard que Guillaume y avait mis du sien ». Bien après, il notera : « Ce qui, chez lui, m'avait séduit tout d'abord, c'était qu'il se fût consacré à ce que Paul Adam, jadis, avait nommé l'athlétie. » Jacques Seray, extrait du livre, "Maurice Guillaume, Sculpteur", page 63.

Maurice Guillaume, 1920-2015