« Le bestiaire de Maurice Guillaume est immense. Il prend son essor en une forme collective et délibérée dès 1960, à l'heure de la tôle d'acier et de la feuille de laiton. Et se concrétise, au printemps 1961, par la grande exposition, à Paris, Galerie Raymond Duncan. De petits chefs-d'œuvre ont alors gagné les sellettes et trouvé leur public. [...] Les animaux, il connaît ! Tout comme chez Louis Leygue, son favori est le cheval. Mais avec une raison supplémentaire, il en a le contact. En tant que cavalier émérite. [...] Or, le paradoxe chez lui, c'est qu'il a représenté le cheval sur le tard. » Jacques Seray, extrait du livre, "Maurice Guillaume, Sculpteur", page 76 et 80.

Maurice Guillaume, 1920-2015